HISTOIRE
UN TOURBILLON DE FOLIE
L’ALLEMAGNE MET LE PAQUET

RETAILLEAU OU LE RENOUVEAU DE LA DROITE.

Bruno Retailleau intérieur

 

Bruno Retailleau n’avait peut-être pas prévu de cumuler sa mission gouvernementale avec la campagne pour élire le Président du parti Les Républicains, mais s’il l’a fait c’est qu’il a pensé qu’il ne pouvait pas se dérober au moment où il suscite un immense espoir parmi les Français qui attendent que s’ouvre à nouveau un chemin pour la droite et le centre. Et les salles qui se remplissent à nouveau comme jamais avec toutes celles et tous ceux qui veulent lui manifester leur soutien doivent le conforter dans le choix qu’il a fait.

Entre cette campagne et son action au ministère, qui l’obligent à se dédoubler, le Ministre-candidat ne semble pas peiner. Tout au plus, avoue-t-il, il dort petitement et prend sur son temps personnel. Mais pas question pour lui de rogner sur ses engagements. Il est vrai, on sera vite rendu au 17 mai, et le fait de rencontrer une adhésion croissante à son action, qui se traduit pas son bien connu sourire en coin de satisfaction, lui donne l’énergie pour accomplir ce qu’il appelle « un marathon ». Et de l’énergie il lui en faut, car en même temps il faut « tenir » au gouvernement, y justifier sa place et rester ferme sur sa ligne politique. Rompu à toutes les disciplines, physiquement, il tiendra, aucune inquiétude là-dessus.

Si je le soutiens et plaide pour que nous soyons toujours plus nombreux à reprendre « la carte » pour assurer sa victoire, c’est parce que j’ai la conviction qu’il sera utile à notre pays en redonnant sa dimension de parti de gouvernement aux Républicains. La suite, il sera temps d’y penser le moment venu. Quand il affirme que le virus de la présidentielle ne le ronge pas, on peut le croire. Seules les circonstances et sa volonté d’agir guident sa trajectoire politique et il tient trop à conserver sa liberté d’action dans ce qu’il fait et dans ce qu’il est pour se laisser parasiter par une candidature hypothétique.

Par son action au ministère de l'Intérieur, il a soulevé un nouvel espoir. Il montre que quand on assume clairement ses convictions, on peut bousculer les lignes et obtenir de réelles avancées. On le voit sur les expulsions par arrêté ministériel qui ont augmenté de 180%. On le voit aussi avec le bras de fer qu’il mène avec l’Algérie. 

Au-delà, il est ce qu’il a toujours été, un homme de rassemblement et de dialogue. Il n’est pas anodin que des personnalités aussi différentes que Xavier Bertrand et David Lisnard le soutiennent. De nombreux parlementaires, Gérard Larcher en tête, et élus de tous niveaux ont rejoint son comité de soutien. Bruno est sur ses rails et ne comptez pas sur lui pour alimenter des polémiques intestines. Garder un œil sur la situation internationale lui paraît bien plus important, car si ce n’est pas vraiment dans son périmètre de responsabilités ministérielles, c’est dans celui d’un futur chef de parti. C’est ainsi qu’il a publiquement estimé que le premier responsable de la guerre en Ukraine, c’est Poutine, faisant ainsi écho à une déclaration de François Fillon beaucoup moins catégorique. Une marque de lucidité bienvenue et appréciée qui contribue à lui forger une stature nationale. Son pragmatisme face à la situation internationale dénote une absence de sectarisme et sa hauteur de vue : qu’il s’agisse du rôle du chef de l’Etat en Europe, du débat sur la capacité nucléaire de la France, ou de la confrontation avec le gouvernement algérien, il coche toutes les cases souhaitées par la plupart de nos compatriotes. Grâce à lui, la droite est en train de se redresser : avec lui, nous pouvons gagner à nouveau demain.

Aujourd’hui, nous devons être le plus nombreux possible à le soutenir.

Pour aider Bruno RETAILLEAU, nous devons adhérer aux Républicains pour le porter à la présidence du parti et ainsi lui donner la force d’agir. Président de parti, il sera plus libre et plus fort pour gagner de nouveaux combats au service de notre pays et de nos convictions. 

 

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