HALTE A LA TERREUR DES PASTEQUES !
28 mars 2023
Il se disent verts, écologistes, mais en réalité sont bien rouges, d’ultra-gauche et d’extrême-gauche. Leur violence et leurs actions de sabotage ne cessent d’augmenter. Il faut y mettre fin. La démocratie doit se défendre. En commençant par mettre hors d’état de nuire leurs commanditaires et ceux qui appellent à la violence et à la désobéissance civile et en menant une action tous azimuts contre leurs vecteurs d’action et de moyens : réseaux sociaux, soutiens identifiés … Ces « black-blocs » qui viennent paraît-il de toute l’Europe, il y a bien quelqu’un qui les finance !
Et d’abord je ne comprends pas que des médias de renom invitent Jean-Luc Mélenchon à venir proférer ses mensonges, ses contre-vérités et ses appels à l’insurrection, avec complaisance sur leurs plateaux. On sait ce que l’admirateur de Chavez nous réserverait si, par malheur, il prenait le pouvoir : une population sous surveillance généralisée, les opposants arrêtés et torturés ou éliminés, et une police au service de son idéologie mortifère bien pire que nos CRS et gendarmes républicains. D’ailleurs les mesures d’audimat signalent que l’audience chute drastiquement dès que ce sinistre individu, imbu de lui-même, apparaît à l’écran. Je ne comprends pas non plus ce que les écolos autres que Tondelier et Rousseau, et les PS continuent de faire avec LFI.
L’écologie radicale et les partisans de Mélenchon sont les activistes du désordre et de la violence. Sous couvert de défense de l’environnement ils n’ont en réalité d’autre obsession que de s’en prendre au capitalisme par tous les moyens et de provoquer la décroissance et la destruction des entreprises tout en faisant la chasse aux riches. Mélenchon y ajoute sa touche de délire révolutionnaire dans lequel il a entraîné la gauche. Toute son action révèle la nature du personnage : telle un « leader maximo », le « Grand Insoumis » rejette sa défaite à l’élection présidentielle et la légitimité parlementaire, appelle au soulèvement tous les quatre matins et justifie toutes les exactions y compris les plus intolérables. Ses aboyeurs à l’Assemblée nationale empêchent tout débat serein et sabotent la démocratie.
Nous avons vu samedi à Saint-Soline, après les saccages de nos villes, ces hordes de voyous entraînés comme des milices, mener une attaque avec une violence ahurissante contre les forces de l’ordre. On ne me fera pas croire que la seule présence de celles-ci a pu motiver ces exactions. On ne vient pas se promener à la campagne, tranquillement, comme le suggère Mélenchon, avec un sac à dos plein de pavés et muni d’un coktail molotov. A d’autres ! Dans n’importe quel pays démocratique digne de ce nom, ces faits susciteraient une réprobation et une indignation unanimes. Or, nous voyons Marine Tondelier, Sandrine Rousseau, Jean-Luc Mélenchon émettre des propos qui excusent l’indéfendable. Non, on ne renvoie pas gendarmes et barbares dos à dos. En réalité, ces gens-là et leurs affidés sont les fossoyeurs de la République ; ceints de leur écharpe tricolore, ces élus prônent la désobéissance civile puisque participant à une manifestation non autorisée, et leur comportement appelle ouvertement à la sédition. Pour cela ils mériteraient d’être poursuivis.
La nouvelle manifestation contre le projet de loi de réforme des retraites organisée ce 28 mars va être encore une occasion pour les « casseurs » de mettre la terreur dans nos villes. Leurs exactions n’ont aucun rapport avec le sujet : ils viennent pour casser, pour blesser, pour tuer des policiers et des gendarmes ; leur objectif n’a rien à voir avec la réforme des retraites, leur objectif est de déstabiliser nos institutions républicaines et de mettre la France à feu et à sang. Le service d’ordre des syndicats risque encore d’être débordé et il va revenir aux policiers et gendarmes, encore une fois de les empêcher de nuire. Alors, n’écoutons pas ces députés LFI qui exigent qu’on supprime les brigades motorisées, trop efficaces à leur goût. Il s’agit, encore une fois, de ne pas laisser s’installer la loi du plus fort et la barbarie.
Quant au soi-disant « comportement responsable » des syndicats, j’ai envie de sourire. Ils sont dans une attitude de blocage depuis le départ, annonçant que le recul de l’âge de départ n’était pas négociable. La radicalisation, c’est d’abord eux. C’est d’autant plus inacceptable que le contenu de la loi comporte de nombreux progrès à côté de la mesure d’âge qui s’avère inévitable si l’on veut maintenir la pérennité du régime par répartition. Le chantage de Laurent Berger sur la « pause » est d’autant plus malvenu.
Commentaires