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HALTE A LA TERREUR DES PASTEQUES !

Manif lycéenne

 

Il  se disent verts, écologistes, mais en réalité sont bien rouges, d’ultra-gauche et d’extrême-gauche.  Leur violence et leurs actions de sabotage ne cessent d’augmenter.  Il faut y mettre fin.  La démocratie  doit se  défendre.  En  commençant par  mettre  hors d’état de  nuire leurs  commanditaires et ceux qui appellent à la violence et à la désobéissance civile et en menant une action tous azimuts contre leurs vecteurs d’action et de moyens : réseaux sociaux, soutiens identifiés  … Ces « black-blocs » qui viennent paraît-il de toute l’Europe, il y a  bien quelqu’un qui les finance !

Et d’abord je ne comprends pas que des médias  de  renom  invitent Jean-Luc  Mélenchon à venir proférer ses mensonges, ses contre-vérités et ses appels à l’insurrection, avec complaisance sur leurs plateaux. On sait ce que l’admirateur de Chavez nous réserverait si, par malheur, il prenait le  pouvoir : une population sous surveillance généralisée, les opposants arrêtés et torturés ou éliminés, et une police au service  de son idéologie mortifère bien pire que nos CRS  et gendarmes républicains. D’ailleurs les mesures d’audimat signalent que l’audience chute drastiquement dès que ce sinistre individu, imbu de lui-même, apparaît à  l’écran. Je ne comprends  pas non plus ce que les  écolos autres que Tondelier  et Rousseau, et les PS  continuent de faire avec LFI.

L’écologie radicale  et  les partisans de Mélenchon sont les activistes du désordre  et de la violence. Sous couvert de défense de l’environnement ils n’ont en réalité d’autre obsession que de s’en prendre au capitalisme par tous les moyens et  de provoquer  la décroissance et la destruction des entreprises tout en faisant la  chasse aux riches. Mélenchon y ajoute sa touche de délire révolutionnaire dans  lequel il a  entraîné la gauche. Toute  son action   révèle  la nature du personnage :  telle un  « leader maximo »,  le « Grand Insoumis » rejette sa défaite  à l’élection présidentielle et la  légitimité  parlementaire, appelle au soulèvement tous  les quatre matins et justifie toutes les exactions y compris les plus  intolérables. Ses aboyeurs à l’Assemblée nationale empêchent tout débat serein et sabotent la démocratie. 

Nous avons vu samedi à Saint-Soline, après les saccages de nos villes, ces hordes de voyous entraînés  comme  des  milices, mener une attaque avec une violence ahurissante contre les forces de l’ordre.  On ne me fera  pas croire que  la seule présence de  celles-ci  a pu motiver ces exactions.  On ne vient pas se promener à la campagne, tranquillement, comme le suggère Mélenchon, avec un sac à dos plein de pavés et muni d’un coktail molotov. A d’autres ! Dans n’importe quel pays démocratique digne de ce nom, ces faits susciteraient une réprobation et une indignation  unanimes. Or,  nous voyons Marine Tondelier, Sandrine Rousseau, Jean-Luc Mélenchon émettre des propos qui excusent l’indéfendable. Non, on ne renvoie pas gendarmes et  barbares dos à dos. En réalité, ces gens-là et leurs affidés sont les fossoyeurs de  la République ; ceints de leur écharpe tricolore, ces élus prônent la désobéissance civile puisque participant à une manifestation non autorisée, et leur comportement  appelle ouvertement à la sédition. Pour cela ils  mériteraient d’être poursuivis.

La nouvelle manifestation contre le projet de loi de réforme des retraites organisée ce 28 mars va être  encore une occasion pour les « casseurs » de mettre la terreur dans nos villes. Leurs exactions n’ont aucun rapport avec le sujet : ils viennent pour casser, pour blesser, pour tuer des policiers et des gendarmes ; leur objectif n’a rien à voir avec la réforme des retraites, leur objectif est de déstabiliser nos institutions républicaines et de mettre la France à feu et à sang. Le service d’ordre des syndicats risque encore d’être  débordé et il va revenir aux policiers et gendarmes, encore une fois de les  empêcher de nuire. Alors, n’écoutons pas ces députés LFI qui exigent qu’on supprime les brigades motorisées, trop efficaces  à leur goût. Il s’agit, encore une fois, de ne pas laisser s’installer la loi du plus fort et la  barbarie. 

Quant au soi-disant « comportement responsable »  des syndicats, j’ai envie de  sourire. Ils  sont dans une attitude de blocage depuis  le départ, annonçant que le recul de  l’âge de départ  n’était pas négociable. La radicalisation,  c’est d’abord eux. C’est d’autant plus inacceptable que le contenu de la loi comporte de  nombreux progrès à côté de la mesure d’âge qui s’avère inévitable si l’on veut maintenir la pérennité  du régime par répartition. Le chantage de  Laurent Berger sur la « pause » est d’autant plus malvenu.

 

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