ALLEGRO VIVACE !
26 septembre 2007
Puisque c'est un peu d'actualité, voici quelques réflexions "carrées" sur le problème des OGM extraites de "ma vérité sur la planète" :
"Lorsque les premières techniques du génie génétique apparurent dans les années 1980, il était évident qu'elles allaient s'appliquer à l'agriculture, car l'idée de modifier le vivant était une part de leur culture. C'est ainsi qu'a pris naissance la fabrication des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM). Aujourd'hui, ces OGM constituent un élément essentiel d'une bataille uniquement politique, mais qui aura des conséquences profondes sur l'avenir de la France, de son économie, de sa société. C'est celle du choix entre le déclin et le progrès, entre la peur et le dynamisme, entre le développement et la régression".
..." Car José BOVE connaît en fait la vérité, il sait fort bien que les OGM actuellement cultivés ne présentent aucun danger, puisque son père est un ancien chercheur... Il fait tout cela pour des raisons uniquement politiques et peut-être oedipiennes. Et ça marche ! donc il continue... D'ailleurs une conversation téléphonique interceptée avec l'un de ses adjoints est claire à ce sujet : "On sait bien que les OGM ne sont pas dangereux mais ça fait peur, c'est donc parfait pour atteindre notre but politique!". Ce qui me navre, c'est que des politiciens ignorants, comme mes amis les présidents de Région socialistes emmenés par Ségolène ROYAL, ont décidé de combattre eux aussi les cultures OGM."
..."Aujourd'hui, dans le monde, 70 milliards d'hectares sont utilisés pour produire des cultures transgéniques : 50% du soja produit est OGM, de même que 20% du coton, 16% du colza, 11% du maïs. Dans trois ans, ces chiffres seront multipliés par deux. Il se développe désormais des cultures pour la chicorée, le lin, la pomme de terre, le riz, la betterave, la tomate."
" Est-il normal que ceux qui détruisent le travail de centaines de chercheurs ne soient pas tous en prison ?"
..." Le jeune chercheur Jean-Christophe BREIDER dont la serre a été détruite ne pourra pas exploiter cinq ans d'expériences sur le riz transgénique et sa résistance aux insecticides. Ses travaux seront copiés et reproduits par les Chinois et les Suisses trois ans plus tard ! Il ne s'agissait pas de cultures en plein champ dont se gargarise José BOVE, ce sont des serres en verre fermées que l'on a cassées, brisées. Le gouvernement étant inerte, les directeurs d'organismes apeurés, les chercheurs n'ont pas même pu réagir ! Faut-il armer les chercheurs ?"
à suivre demain (le maïs transgénique est-il dangereux pour les autres cultures ?)...
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