INDIGNE
04 mai 2007
La fin de campagne de CRUELLA-CASSANDRE confine au pitoyable. Ses appels tous azimuts sont pathétiques et si elle ne s'en tenait qu'à cela, ce serait compréhensible. Difficile d'admettre la défaite annoncée. Mais ce qui n'est pas tolérable, c'est le discours qu'elle tient à l'égard de Nicolas SARKOZY, comme si elle cherchait à provoquer l'irréparable pour pouvoir dire ensuite :"je vous l'avais bien dit !". Pourquoi serait-il dangereux ? Son discours est qualifié de "brutal" comme si dire la vérité n'était pas supportable. C'est la droite "dure" : on voudrait bien savoir ce que sous-entend cette expression.
Assez de diabolisation ! Assez de cette incitation tacite à la guerre civile ! La tâche sera suffisamment difficile ensuite pour qu'au moins on n'en rajoute pas. Ce n'est pas avec des bons sentiments qu'on résoudra le problème des jeunes des banlieues. Ce n'est pas en criant "haro" sur les "riches" qu'on facilitera le redressement de la France. Mais c'est bien parce qu'elle et ses amis n'ont toujours rien compris à l'exaspération des Français qui en ont assez du système social d'égalitarisme forcé, que les voix se portent sur son concurrent. Attention au réveil du peuple de France, il pourrait bien ne pas accepter qu'on remette en cause, d'une façon ou d'une autre son verdict. Puisqu'on a à faire à une donneuse de leçon de démocratie et d'esprit républicain, j'ai envie de lui dire :"charité bien ordonnée commence par soi-même !".
Ce que j'ai entendu ce soir sur France 3 un peu avant 20 heures n'est pas digne d'une candidate qui prétend exercer la magistrature suprême.
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