HISTOIRE
SUR VOS AGENDAS
LA MORT « CHOISIE »

C’ETAIT UN 5 OCTOBRE…

 

église saint-Roch

On est en 1795, sous la Convention.

La Terreur a pris fin en 1794 avec l’exécution de Robespierre, mais les royalistes continuent de s’agiter. Ainsi, avertie des préparatifs d’une insurrection à Paris, l’Assemblée charge le député Paul Barras de la réprimer. La tâche d’exécution est  confiée à un jeune général nommé Napoléon Bonaparte qui prend en main les opérations. Attaché à la République et dégoûté  par le désordre et la guerre civile, il charge un chef d’escadron nommé Joachim Murat de récupérer  une quarantaine de canons qu’il fait disposer autour des Tuileries. En ce 13 vendémiaire an IV, Napoléon fait manœuvrer son artillerie dans les rues de Paris et n’hésite pas à faire ouvrir  le feu sur les émeutiers.  L’épisode le plus tragique se déroule devant l’église Saint-Roch où la canonnade retentit pendant près de ¾ d’heure. C’est cet épisode que l’Histoire retiendra.  L’église  Saint-Roch conserva les traces d’impacts de la fusillade sur sa façade jusqu’aux années 2 000. Les ossements des royalistes sont toujours soigneusement conservés en rayonnages dans les catacombes de Paris. 

La réputation de Napoléon est faite. On connait la suite. On ne rigolait pas avec « l’ordre républicain » !

 

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