HISTOIRE
CHERCHEZ L'ERREUR ...
AD LITERAM

SUR LE CARNET DE CAMPAGNE DE SERAPHIN

 

 Carnet1

Cécile DUFLOT –la pie jacasse verte-  a affirmé que le choix du tout nucléaire de Nicolas Sarkozy, c’était de l’obscurantisme. C’est l’hôpital qui se fiche de la charité : il me semblait que c’était l’apanage des ayatollahs, et en matière d’aveuglement vert elle peut donner des leçons. « Une secte fanatique » nous prévient Chevènement, et il n’a pas tort. D’abord ce n’est pas le « tout nucléaire » parce que le gouvernement s’est lancé dans le développement des énergies renouvelables pour atteindre avec l’éolien et le photovoltaïque, sans parler des hydroliennes, l’objectif de 23% de production au seuil des années 2020. C’est curieux comme à EELV on est dans le déni du Grenelle de l’environnement dont les retombées sont plus importantes que ce qu’ils proposent eux-mêmes. Evidemment ça gêne !

« L’amère de Lille » veut rendre « coup pour coup », parce que, paraît-il, l’UMP serait agressive à l’égard du candidat socialiste. La posture « d’agressé » est le coup classique de l’agresseur qui veut inverser les rôles. Tout de même, on n’a pas la mémoire si courte et on a encore en tête les tombereaux d’injures  et de noms d’oiseaux dont ils ont agoni le Président pendant quatre ans (Madoff, corrompu, république abîmée, …).

Encore un sujet qui fâche entre les Verts et le PS : la place et le rôle de la France à l’ONU : la France devrait y remettre en cause son siège permanent et son droit de véto. Ce que M. Mollet dénie. Mais sur quoi sont-ils d’accord ? Sur rien ! C’est de plus en plus évident.

Au secours, le NPA prévoit de « dégager Sarko au second tour » ! Heureusement, les électeurs vont se charger de « dégager » Poutou dès le premier ! Un coup de pied au cul avec 1 ou 2% de voix.

Hervé Morin, qu’André Santini juge « un peu court », s’est déclaré dimanche matin comme prévu, entouré de la moitié (à peine) des parlementaires du groupe Nouveau Centre, avec dans le dos le pont de Normandie,  « le dos au mur » ont ironisé certains. Je trouve une certaine utilité à sa candidature et l’UMP devrait le ménager un peu plus. N’oublions pas que, depuis quatre ans, nous perdons toutes les élections au second tour après avoir fait un bon premier. Et puis comme on ne sait pas ce que nous prépare le Béarnais, qu’il ait un autre centriste dans les pattes, c’est pas plus mal. Car Bayrou confirme lui aussi sa candidature à la présidentielle : il franchit sans attendre le Grand Morin (rivière d’Ile-de-France ; le Rubicon, c’est trop loin)… On en saura plus le 7 décembre sur le projet du « grand homme » qui rêve de rassembler les Français de la gauche à la droite en passant par … le centre. « Deux Français sur trois »… aurait dit Giscard (shploc !), sauf que le Béarnais ne lui arrive pas à la cheville.

Marine Le Pen rame pour trouver ses 500 parrainages et réclame l’anonymat : tiens donc, je croyais que le FN ne faisait plus peur ? C’est François Fillon qui lui a répondu par une fin de non recevoir. On ne change pas la règle à moins de six mois des élections. La candidate d’extrême droite mollit aussi sur l’Euro qui ne disparaîtrait pas complètement et deviendrait monnaie de réserve ou parallèle… On ne sait plus très bien.

Dans le film de la semaine, il y a aussi DSK  qui tente de relancer la thèse du complot : « l’enquéquète –story » continue. Doit-on rire, comme le fait Anne Roumanoff, en précisant qu’on sait maintenant ce qui s’est passé au Sofitel : « On a forcé DSK… »

"Mollet-ch’molle" s’est réjoui de la hausse du chômage en novembre, consacrant l’échec de la politique du Président, « qui ne peut s’en exonérer par la crise ». Alors, Monsieur le magicien, elle est due à quoi la montée du chômage ? Cela revient à dire que s’il avait été président, la crise de la dette aurait soigneusement évité notre pays. Ben voyons ! Et puis, lui, il aurait créé de l’emploi public  pour diminuer le chômage, financé par … la dette. Aïe ! Il faut dire qu’il a des solutions pour tout : l’éducation ? On fera une concertation ; le nucléaire ? On fera un débat ; … il nous refait le coup de la « démocratie participative » pour ne pas apporter de réponses claires afin de ne fâcher personne. Qui va lui expliquer que le rôle du président, ce n’est pas ça ? Il a pourtant décidé de donner « une ligne claire » à sa campagne et pour commencer il déclare : « je ne suis pas lié par le projet socialiste ni les accords PS-EELV ». Après ça, vous y voyez plus clair, vous ? Moi, j’appelle ça « prendre les Français pour des cons ».

 

 

Commentaires

Vérifiez votre commentaire

Aperçu de votre commentaire

Ceci est un essai. Votre commentaire n'a pas encore été déposé.

En cours...
Votre commentaire n'a pas été déposé. Type d'erreur:
Votre commentaire a été enregistré. Poster un autre commentaire

Le code de confirmation que vous avez saisi ne correspond pas. Merci de recommencer.

Pour poster votre commentaire l'étape finale consiste à saisir exactement les lettres et chiffres que vous voyez sur l'image ci-dessous. Ceci permet de lutter contre les spams automatisés.

Difficile à lire? Voir un autre code.

En cours...

Poster un commentaire

Vos informations

(Le nom et l'adresse email sont obligatoires. L'adresse email ne sera pas affichée avec le commentaire.)