A suivre la chronique
politique quotidienne, on s’aperçoit rapidement que du côté du PS, les jours se
suivent et se ressemblent. En dehors du harcèlement monomaniaque quasi
psychiatrique contre Nicolas Sarkozy, dont l’affaire des sondages de l’Elysée
est le dernier épisode avant le prochain, et bien qu’il se soit mis au travail,
pour l’instant on n’a rien vu. Enfin, le Parti n’a rien produit de neuf.
Remarquez, il n’a pas besoin
d’idées nouvelles pour occuper la une des médias. Les (d)ébats de Ségolène et Vincent
sont un spectacle de choix. De ce côté-là, il y aurait pourtant à exploiter
pour la majorité, si elle voulait se situer à la hauteur du débat que mène la
gauche, c’est-à-dire en-dessous de la ceinture. On pourrait gloser sur l’arrogance
de la « sainte nitouche » de Poitiers, qui a entraîné le départ de
tous ses collaborateurs et découragé nombre de ses partisans à force de
provocations, comme si elle était partout indispensable. L’ancienne candidate n’est
en fait qu’une éléphante de plus qui allie le cynisme à l’insolence. Seulement
derrière chacune de ses déclarations ou de ses fats et gestes, on perçoit assez
facilement la forte dose d’hypocrisie qui lui est coutumière. Et finalement,
cela ne fait jamais qu’une rechute mensuelle pour le PS. Vous avez dit crédible ?
Du côté de la direction, on
balance entre l’absence, le dos rond et les déclarations ringardes. Martine Aubry
n’a guère le choix. Si c’est Benoit Hamon qui s’exprime, il le fait plus
souvent au nom de son courant que du parti tout entier, ce qui ajoute à la
confusion. Alors elle nous ressort ses bonnes vieilles idées, bien roses et
aussi bien défraîchies. Chassez le naturel, il revient au galop. Ainsi, Martine
Aubry s’est exprimée sur la contribution du Parti Socialiste au débat sur
l’identité nationale et a appelé à la régularisation massive de toutes les
personnes sans-papiers sur le territoire français ! Voilà : après les
présidentielles, les législatives et les exemples ratés des pays européens de
gauche qui ont appliqué ces régularisations massives, le PS n’a toujours pas
compris que les Français n’en voulaient pas ! Nul doute qu’elle va bientôt
nous ressortir… Les 35 heures ! On parie ?
Idées ou pas : le PS s’isole de plus en
plus. Alors pour oublier, il y en a qui se mettrait à boire. Ses dirigeants, eux,
attaquent de plus belle, non pas le Président (nuance) mais Nicolas Sarkozy, érigé
en bouc émissaire de leur misère intellectuelle.
Ce matin, je suis allé me faire faire le vaccin pour la grippe porcine.. par prudence et solidarité avec ROSELYNE.
Imaginez si elle se trouvait seule à l'UMP ,à survivre à cette Pandémie !
Je dis ça parce que le P.S. qui conteste tout et son contraire serait décimé... Non ! pas par le virus A mais par sa propre "khonery". Et pour ça il n'y a pas de vaccin Hélas !!!
Rédigé par : jibe124 | 27 novembre 2009 à 16:43