AU NOM DE LA REPUBLIQUE !
14 novembre 2007
Le blocage des universités par quelques dizaines d'énergumènes endoctrinés, prêts à tout pour parvenir à leurs fins, télécommandés par les KRIVINE, BESANCENOT et consorts, n'est pas acceptable. On connaît la méthode des AG manipulées où l'on agite des certitudes mensongères pour convaincre les étudiants gogos, c'est-à-dire les plus vulnérables :" demain on paiera 5000€ de frais d'inscription..." Plus c'est gros plus ça passe ! le vote à bulletins secrets s'exprime très clairement contre ? Ils n'en ont cure. Ils imposent le blocage par la force, armés de battes de base-ball et de barres de fer. Cela me ramène 40 ans en arrière, quand je collais des affiches pour le candidat que je soutenais et que je m'étais retrouvé avec mon équipe face à 4 costauds du PC armés de barres de fer.... C'était à Trélazé, cité rouge. L'époque a changé, pas eux ! Mêmes discours, mêmes mots, mêmes méthodes.
Face à ces petites frappes qui font régner la terreur, comme à Rennes, la République a le devoir de protéger ses enfants ! Ce n'est tout de même pas aux étudiants calmes et soucieux de réussir leurs études d'aller donner du poing contre ces voyous. Ces gauchistes en mal de "mai 68" et qui rêvent d'un 3ème tour révolutionnaire, ont appelé à occuper les gares dès hier : ils n'ont pas été suivis et étaient trop peu nombreux pour réaliser leur fantasme. Le Gouvernement a le devoir de garantir le libre accès aux établissements publics. Sortons-les des facs "manu militari" avant qu'ils ne causent encore pour des milliers d'€uros de dégâts qui viendront grever des budgets qui n'ont pas besoin de ça. Leur démocratie des "soviets" n'est pas la nôtre, ni celle de la grande majorité du peuple français. VIRONS-LES !
Il est tout de même cocasse que "certains étudiants" n’aient toujours pas compris que seuls les travailleurs sont en mesure de déclarer et faire une grève dans la mesure où ils ont un travail. Faut-il leur rappeler qu’un étudiant n’est pas encore un travailleur, et il ne le sera jamais s’il ne se donne pas la peine de choisir des filières d’enseignement supérieur qui lui apporteront une réelle qualification. Les étudiants les plus virulents sont inscrits dans des filières qui n’offrent aucune perspective de débouchés. Autrement dit, la collectivité se paie le luxe d’entretenir des individus dont l’utilité ne saute plus aux yeux alors qu’elle n’en a plus les moyens aujourd’hui. Et ces derniers boycottent leurs cours sans voir qu’ils sont en train de scier la branche sur laquelle ils s’excitent. Un excellent sujet de réflexion pour développer leur "esprit critique", comme ils le revendiquent.
Il y en a qui vont penser : "HOULLE, il vire facho"... Non, je dis tout haut ce que tout le monde murmure tout bas autour de moi. Tout simplement.
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