ET MAINTENANT LA CORSE
26 janvier 2007
Les médias s'en sont fait suffisamment l'écho et je n'en rajouterai pas. Qu'un fantaisiste imitateur piège une candidate à l'élection présidentielle fait malheureusement partie des moeurs de notre époque d'irrévérence généralisée. On n'y respecte plus rien et il n'y a plus de sanctuaire qui vaille. Celui de la République comme le reste. Mais la réflexion sur la Corse qui a été faite au détour de cette fausse interview révèle une légèreté qui ne sied pas à la fonction que l'impétrante souhaite obtenir du suffrage universel. Le Président de la République est en effet garant de l'unité du territoire. C'est tragique !
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