HISTOIRE
VICTOIRE PLANETAIRE
LA VALSE A QUATRE TEMPS (avec l’émotion)

ET MAINTENANT ?

                                                                                                          

                                                                                 

Le nouveau président américain s’est mis au travail. Il s’est attelé à la composition de son équipe et procède aux premières nominations. Il prendra ensuite connaissance des dossiers tandis que les services secrets commencent à lui transmettre leurs rapports…. 77 jours de quasi vacance du pouvoir, même si le sortant garde jusqu’au bout la plénitude de ses pouvoirs. Une situation délicate à gérer alors que dans le même temps la crise s’étend à l’économie réelle et que le monde soit se retrouver la semaine prochaine à New York pour prendre d’importantes décisions.

                                                                                   

Maintenant que le « rêve américain » est à nouveau « réveillé », que nous avons à la tête de la première puissance mondiale un homme à l’esprit ouvert sur le monde et prêt à œuvrer pour le rendre meilleur, il serait utile que l’Europe  ait la capacité de tenir sa place comme elle a su le faire dans la crise géorgienne.

                                                                                        

La situation dans laquelle se trouve l’Amérique poussera son nouveau président à se tourner vers nous, vers sa vieille alliée, « ce vieux pays » avait dit Dominique de Villepin, pour partager un peu le fardeau que Les USA portent sur la scène mondiale où son prédécesseur avait pris l’habitude d’imposer ses choix, quitte à pratiquer l’unilatéralisme. Nous attendons que l’Europe ait des propositions unifiées et concrètes pour résoudre la crise financière, mais aussi sur la politique de sécurité, sur l’attitude à avoir face à la Russie du tandem Medvedev-Poutine dont on vient de voir les dernières rodomontades, mais aussi face à l’Iran, etc…

                                                                               

L’élection de Barak OBAMA peut réconcilier les Etats-Unis avec le monde, mais en même temps place l’Europe devant ses responsabilités. « La balle est dans son camp » et si elle en a la volonté, une chance, inespérée encore hier, de jouer un rôle de premier plan dans la mondialisation. A l’Europe d’en avoir la volonté et l’ambition.

                                                                              

L’Amérique vient de nous donner une magistrale leçon de tolérance, pourquoi l’Europe n’en profiterait-elle pas pour proposer sa vision, ses valeurs, ses modèles de pensée, avec la sagesse qui caractérise le vieux continent ?

                                                                            

Le résultat de l’élection américaine interpelle l’Europe sur notre destin.

                                                                               

                                                                                                          

Commentaires

jolivet jean pierre

c'est trop long............Pourtant c'est bien.Mais ça ne sera lu qu'à 20%......

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