CACHEZ CE CLANDESTIN QUE JE NE SAURAI VOIR !
01 octobre 2010
La question de l’immigration est recouverte en
permanence du voile pudique du « politiquement correct » par les médias
et les institutions. Résultat, en France, que ce soit à la radio ou à la télévision,
on n’aborde la problème des immigrés clandestins qu’en les plaignant, qu’en
prenant leur défense contre toutes les mesures destinées à les contrôler et qu’en
traitant le pouvoir en place de toutes les épithètes possibles, y compris les
plus douteuses. Comme ceux qui ouvrent leurs grands bras généreux aux
clandestins –surtout moralement- ne nous disent pas pour autant qui doit payer
pour leur intégration, le reste de la population ressent leur arrivée avec
inquiétude.
Quand les électeurs européens dans leur majorité n’ont pas le sentiment que leurs dirigeants prennent des mesures dissuasives pour limiter l’immigration, ils n’ont aucuns scrupules à manifester leur mécontentement dans les urnes. L’évolution récente de l’électorat européen est indicative de cet état d’esprit : les récentes élections en Suède ont permis l’entrée au Parlement du « SD » parti xénophobe ; en Belgique, l’extrême droite contribue à la fracture du pays ; au Danemark, aux Pays-Bas, en Norvège, en Hongrie les partis populistes connaissent un regain de faveur et la convergence de leurs succès devrait nous alarmer… ou nous ouvrir les yeux. La montée de l’extrême droite s’appuie essentiellement sur l’hostilité à l’immigration.
Il n’est donc pas monstrueux, au nom de la protection des minorités, de lutter contre l’immigration incontrôlée, et c’est pourquoi on fait à Nicolas Sarkozy un procès excessif et incongru : si le président doit respecter les textes des lois dont il est le garant, il a aussi le devoir, dans le cadre légal, de faire démanteler des camps non autorisés ou faire reconduire à la frontière des personnes, certainement en détresse, mais dont l’accueil systématique achèverait nos système sociaux, déjà trop déficitaires !
Le contrôle de l’immigration est le meilleur remède contre l’intolérance. Sinon, la peur irrationnelle de l’autre peut devenir dangereuse économiquement, socialement et politiquement. En Italie, Silvio Berlusconi est confronté au problème et a bien du mal à maintenir sa coalition gouvernementale avec la ligue du Nord, mouvement séparatiste et xénophobe. Flamands et Magyars, Gaulois et Teutons sont tentés de se protéger derrière le rempart de la « vieille culture » contre les dangers de la mixité. Cela rend encore plus limpide et clairvoyante l’action du Chef de l’Etat, si l’on ne veut pas demain, nous retrouver dans l’obligation de composer avec un parti d’extrême droite comme y a été contraint le conservateur Wolfgang Schüssel, en 2000, en Autriche. Car cette évolution de l'électorat, dont la fraction séduite par les thèses fondées sur l'intolérance grossit, complique sérieusement la formation des gouvernements de centre droit qui, jusqu'à présent, exprimaient une majorité à peu près constante dans la plupart des Etats de l'Union.
Il suffit de lâcher les mots
" Régulation de l'immigration " pour aussitôt être taxé de xénophobie ou de racisme par la Gauche .
Certains journalistes de Gauche manipulent en permanence l'opinion publique , déforment les faits , et surmédiatisent les affaires par pure marketing et stratégie électoraliste .
Rédigé par : Chris | 02 octobre 2010 à 16:44
Salauds de gauchistes, tous les mêmes !
Rédigé par : lucien.martin | 02 octobre 2010 à 21:52
Je dirais même plus : "journalistes de gauche" est un pléonasme.
Alors que les journalistes de Dassault sont intègres.
Rédigé par : lucien.martin | 02 octobre 2010 à 21:54
je vous aime bien Martin quand vous confirmez mes propos !
Rédigé par : Chris | 03 octobre 2010 à 14:21