PETITE CHRONIQUE D'UNE VICTOIRE INEVITABLE
23 janvier 2017
NOTRE DERNIERE CHANCE DE REDRESSEMENT
L’espoir du redressement.
Le « redressement » de la France, c’est ce message d’espoir que François FILLON est le seul à porter devant les Français. Fidèle à lui-même, il fonce droit devant lui en suivant son cap, sous les tirs croisés de tous ses adversaires, les caricatures des pseudos experts, les désinformations de tout ce que notre pays compte d’officines plus ou moins de gauche.
Notre pays sort de cinq années qui auraient pu profiter de l’alignement des planètes pour réaliser les réformes qui auraient permis de diminuer nos déficits et renforcer notre économie, favoriser le travail et l’épargne. Le seul chiffre qui vaille en ce début d’année 2017 et qui dit tout du drame de notre pays, ce sont les 2 200 milliards d’euros de dette publique, un nouveau record dont on se passerait bien.
En cette année 2017 qui commence, nous savons déjà que la France va lever 200 milliards d’euros d’emprunts sur les marchés financiers, dont les 2/3 vont servir à rembourser des dettes plus anciennes, et le dernier 1/3 à financer le déficit budgétaire. Ce sont plus de 41 milliards d’euros qu’il faut débourser chaque année en intérêts de cette dette abyssale. Plus grave, la hausse des taux à laquelle il faut s’attendre va alourdir mécaniquement cette somme à raison de deux milliards pour une augmentation de 1% du loyer de l’argent. Une spirale qu’il convient d’enrayer au plus vite. Or, seul le programme de François FILLON propose d’y remédier. Mais le temps presse. Il ne faut pas perdre cinq ans de plus, car le pire est devant nous. Sans une vaste politique de réformes structurelles et fiscales, les causes cumulées du vieillissement de la population, de l’allongement de la durée du versement des pensions, et la hausses des dépenses de santé, notre dette publique pourrait avoisiner 170% du PIB à l’horizon 2050.
Pas de redressement sans l’alternance.
Seule l’alternance en mai prochain permettra de reconstruire le modèle social sur des bases viables, de réduire les dépenses, de consolider le système des retraites par l’allongement indispensable de l’âge de départ et de revenir au plein emploi en levant tous les freins qui pèsent sur notre appareil de production.
En déplacement dans l’Ain, à Oyonnax, devant 3 000 personnes, François FILLON, a revendiqué sa volonté de changer beaucoup de choses avec beaucoup de force. « Nous sommes dans un pays en déclin. Mon objectif est très simple : je veux que tous les Français aient un boulot et il faut les protéger. Il ne faut pas avoir peur de faire des changements ! Je suis le seul candidat qui vous propose une rupture. Tous les autres sont en train de s’organiser pour conserver le système, sans le dire. »
Il n’y a pas d’autre solution pour sortir de la stagnation et du chômage de masse que de libérer les énergies productives en supprimant autant que possible tous les obstacles : cela passe par une diminution des réglementations et une baisse profonde de la fiscalité. L’impôt excessif et la dépense publique sont les deux principaux freins qui pèsent sur l’initiative productrice. La baisse des dépenses publiques, ce n’est pas « l’austérité », c’est au contraire le moyen de relancer l’activité, donc l’emploi.
François FILLON veut rendre leur liberté au Français.
Il faut croire en la liberté ! La liberté n’est pas punitive. La punition, c’est maintenant : c’est celle que subissent les plus défavorisés, dont le pouvoir d’achat stagne ou recule, dont l’emploi est précaire et dont les enfants ont du mal à s’insérer sur le marché du travail. La transformation du pays qu’il porte leur bénéficiera et leur redonnera confiance et espoir en l’avenir.
Commentaires