AU NOM DE LA FIDELITE
02 juin 2021
Les 20 et 27 juin prochains se tiendront les élections départementales. Comme toutes les échéances électorales elles revêtent une importance que beaucoup d’entre nous ne soupçonnent pas. L’assemblée départementale, autrefois Conseil Général, par les compétences qui lui sont dévolues joue en effet un rôle majeur dans notre vie quotidienne, d’autant plus que les deux tiers de ses dépenses concernent l’action sociale, dont, par exemple, les résidences pour personnes âgées.
Le choix des candidats n’est pas non plus anodin.
En Maine-et-Loire, nous avons la chance d’avoir une majorité sortante de centre-droit, dont le bilan largement positif est salué partout : humanisme, bonne gestion des finances publiques, choix efficaces. Cette action a été menée sous la conduite de Christian GILLET qui en assurait la présidence et qui se représente dans le Canton Angers 1 (Angers centre).
Si j’habitais sur le canton, c’est à lui que je donnerais mon suffrage. Pour au moins trois raisons.
La première, c’est la fidélité à ses convictions. Une denrée qui devient rare. Je connais Christian GILLET depuis de nombreuses années. Depuis toujours je l’ai connu « centriste », naguère UDF, aujourd’hui UDI, cette sensibilité humaniste et sociale de centre-droit modéré, à laquelle il n’a jamais dérogé.
La seconde raison, c’est la loyauté. Là encore, c’est une denrée qui se fait rare en politique. Nous avons appartenu au début au même mouvement, l’UDF, puis nos chemins se sont quelque peu séparés quand je suis devenu secrétaire départemental de l’UMP. Mais autant que je me souvienne, cela n’a jamais empêché que nous menions les batailles électorales ensemble, côte-à-côte, car nous sommes dans un pays où l’on gagne rarement tout seul mais en coalition. Avec Christian nous nous sommes toujours retrouvés dans le même camp, les mêmes majorités. Il a toujours été un allié fidèle et loyal. Une qualité qui compte !
La troisième raison, c’est son sens du service à nos concitoyens qui se traduit chez lui, en premier, par un devoir de bonne gestion des deniers publics. La preuve tient dans le bilan de son mandat : quand il a pris la direction de l’assemblée départementale, le Département que lui laissait M. Béchu était très endetté et n’avait plus aucune marge de manœuvre. Sous son mandat, la dette qui est passée de 400 à 300 million d’euros, alors que dans le même temps les participations de l’Etat baissaient de 40 millions, permet de mesurer l’effort consenti. Cela a permis à la collectivité de retrouver une marge d’investissement de 80 à 100 millions par an, qu’elle n’avait plus, pour les collèges, les routes …
J’ajouterai une raison supplémentaire : Christian GILLET se représente avec une équipe renouvelée dont le dynamisme profitera à tous pour ce nouveau mandat. A la rigueur de gestion il faut ajouter les orientations qui ont fait le succès de la majorité départementale : accompagnement plutôt qu’assistanat, dimension humaine de l’accueil plutôt que les solutions collectives anonymes, dialogue et concertation… Avec sa majorité il propose un projet qui répond aux aspirations des habitants de l'Anjou : ruraux, urbains et périurbains. L'écologie du quotidien, la citoyenneté et les usages du numérique sont les piliers du projet harmonieux qu’ils ont imaginé pour les habitants du département.
Christian GILLET est une valeur sure qui conjugue compétence et envie d’agir.
Face aux girouettes qui briguent leur place, lui et son équipe, avec Rim RIDANE, double championne du monde de boxe française, comme binôme, Anne-Sophie le DUC-BANASZUK et Benoit TRIOT, comme remplaçants, méritent toute votre confiance.
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