LES "TOTOS" DE LA REPUBLIQUE
19 avril 2016
La kermesse gauchiste.
Véronique Genest, qui habite Place de la République, agressée. Alain Finkielkraut venu en curieux, molesté et vivement repoussé… Décidément le vent de démocratie qui souffle sur la place parisienne souffle à sens unique. Eric Brunet, dont le visage est moins connu de cette faune particulière a pu se glisser dans les groupes pour observer et écouter. Il nous livre son constat dans « Valeurs Actuelles » sous le titre : « Les niais debout ». Tout est dit. Nous avons bien affaire à des anarchos, des bolchos martinézien, des zadistes en goguette, des intermittents crasseux à nattes, dont on connait les méthodes et la fermeture d’esprit. En un mot, des totalitaires, abréviation : « totos ». Des poux aussi, car ce ramassis de paumés est avant tout peuplé de parasites qui vivent sur le dos de la société.
On y réinvente le « totalitarisme »
Drôles d’humanistes, ces énergumènes vitupérants et menaçants. Notre académicien bousculé et agoni d’insultes, sur lequel on s’est permis de cracher au visage, ne doit son salut qu’à la présence des caméras. Sa visite aurait dû être un honneur au même titre de celle de Varoufakis, qui a eu droit, lui, à ses cinq minutes de temps de parole. Gauchisme oblige. Encore que je ne place pas les deux personnages sur le même plan. Le gauchiste grec devrait avoir l’humilité de reconnaitre qu’il a conduit son pays dans un gouffre dont il n’arrive pas à sortir. Il est loin d’avoir la lucidité éclairante d’un Finkielkraut. Mais voilà, il faut faire partie « de la cause ». Donc pas question pour ces apprentis bolchos, politiciens en herbe professionnels, experts en « verrouillage », d’accepter la moindre contestation ni contradiction. Ils se parlent à eux-mêmes en exerçant leur dictature sur l’assistance qu’ils surveillent et « épurent » si besoin est. Une technique d’action politique bien rôdée et bien connue pour aboutir à l’unanimisme dans la plus pure orthodoxie des « soviets ». Dans ces conditions, on se demande pourquoi ces illuminés qui ont sauté le 20ème siècle, bénéficient de la complaisance des pouvoirs publics et de la surmédiatisation des chaines TV en continu. Serait-ce de la part des journalistes une nostagie post-soixantehuitarde ?
La violence juste.
Que peut-on attendre de ce mouvement sans queue et surtout sans tête, puisque même celui qui en est à l’origine, le sieur Ruffin, botte en touche au sujet du molestage d’Alain Finkielkraut. On tremblerait presque à l’idée qu’il pourrait en sortir une « Constituante » comme l’affirme sans barguigner une participante, sérieuse. Les réquisitoires contre la société de consommation et contre le capitalisme seraient risibles s’ils n’étaient pas accompagnés de la violence qui sévit tous les soirs autour de la place. Evidemment les communistes, enfin ce qu’il en reste, participent aux débats à sens unique. La CGT n’est pas en reste : la répression est indigne, comme en témoigne l’affiche que ses militants collent en ce moment. Les vieux réflexes reviennent rapidement. Avec eux, même sous un gouvernement de gauche, l’ordre n’est jamais juste, par contre la violence, quand elle est du bon côté, l’est ! Après « Je suis Charlie », on se demande ce qu’est devenu l’esprit chanté par Renaud : « J’ai embrassé un flic ! ». Oublié, bien sûr !
Le regard énamouré des bobos.
Bruno Le Maire a bien tort de porter de la considération à ces pseudo jeunes et quand il les invite à s’engager, il ne risque pas d’être entendu : « Ni dieu, ni maître ! », il devrait savoir ça, ou alors il est encore trop « vert » (au sens jeune). NKM n’est pas en reste, en bonne bobo parisienne, elle ira sûrement se frotter au bas peuple et se créer des émotions à bon compte. Elle nous avait habitués à mieux. Il est vrai qu’elle vient d’annoncer la couleur : « elle est de droite ET de gauche ». Bizarre totologie, un oxymore très à la mode, inversé de celui du « joli macron aux yeux bleus » qui, lui, n’est « ni de droite, ni de gauche ». « Ailleurs » donc ! Il devrait aller faire un tour place de la République, il pourrait y fumer un pétard et rejoindre, dans une volute bleutée, cet ailleurs où il situe son ancrage politique.
Consternant.
Le pouvoir, à la tête de l’Etat, semble désemparé. Il n’ose pas mettre fin à cette farce polluante. Il espère acheter la paix avec « les jeunes » en oubliant que ceux avec qui il négocie ne représentent qu’eux-mêmes. Avec l’UNEF, il n’aura jamais fini de sortir le porte-monnaie. Ila déjà dépensé 500 millions d’euros en « garantie jeunes », mis en pièce la loi El Khomry, surtaxé un peu plus les CDD. En toute logique, comme tout cela ne pourra qu’aggraver le chômage des jeunes, on va maintenant leur offrir le SMIC jeune. En toute logique, puisque le travail c’est l’aliénation, on doit donc pouvoir vivre sans travailler, surtout quand on est jeune. Cela coûtera 6 milliards d’euros par an. Qu’importe, quand on a 70 milliards de déficit et une dette de 2 100 milliards, un peu plus, un peu moins… les élections sont dans un an.
Tout le monde s’en fout !
Besancenot, ce revenant, voudrait une grève générale au mois de mai. Mais je parie que son appel fera un flop : au mois de mai, il a un ennemi redoutable qui s’appellent « pont et week-end prolongé ». Et puis, c’est comme « Nuit debout » : excepté les zadistes en mission qui rêvent de greffer une « ZAD » au cœur de Paris, l’expérience n’intéresse personne. Chacun vaque à ses occupations autour de la place dans l’indifférence la plus totale. Comme le dit Alain Finkielkraut, « Tout le monde s’en fout ! », ce n’est « qu’une kermesse gauchiste sous cloche » au milieu d’une ville totalement indifférente. Et c’est tant mieux ! Simplement, les riverains aimeraient dormir un peu la nuit et que les pouvoirs publics mettent fin au trouble de voisinage, ce qui fait partie de leur mission.
Une conséquence pas si inattendue que ça : Mélenchon a repris des couleurs, et dans les derniers sondages, il fait presque jeu égal avec Hollande. La honte ! Pas vraiment réjouissant pour l’avenir.
Et France 2 qui sert la soupe à François Hollande tous les soirs a comparé hier soir les aides publiques données aux jeunes et celles données aux seniors.
Et à ma grande surprise la Retraite perçue par les seniors etait considérée comme une............. Aide Publique ..........? ! ! ! !? ?? ?? ?
Pour conclure alors en fin de démonstration que les seniors étaient beaucoup plus aidés que les jeunes ? ?
et ainsi justifier le RSA pour les moins de 25 ans .
Il faudrait informer les journalistes de France 2 que les seniors ont payé toute leur vie des cotisations sociales et ceux sont ces cotisations sociales qui majoritairement paient ces retraites.
Rédigé par : Chris | 20 avril 2016 à 10:27
Soutien aux forces de police et de gendarmerie contraintes de maintenir l'ordre constamment baffoué par ce guignol de HOLLANDE. Les Français n'en peuvent plus de cette mascarade. Plusieurs de mes collègues avaient voté HOLLANDE par pur ANTI SARKOZYSME. Ils contastent aujourd'hui leur grande erreur car eux bossent pour payer l'assissistanat de tous ces manifestants qui occupent la voie publique sans jamais avoir travaillé UN COMBLE. Ils cassent du flic en pensant à mai 68. Mr HOLLANDE vous êtes le seul responsable avec votre clique d'incompétents du gouvernement, de la situation dans laquelle se trouve NOTRE FRANCE. Vous avez nié la crise pour vous faire élire, Aujourd'hui le PAYS est dans un vrai bourbier. Les valeurs foutent le camp, piétinnées par ces manifestants hooligans. VIVEMENT 2017 !!!
Rédigé par : Richard VIAU | 20 avril 2016 à 15:39