HISTOIRE
LA LONGUE MARCHE VERS LE SOMMET
SAINT-BARTHELEMY : LES LISTES DE GAUCHE

UN ETAT SECTAIRE ET MAFIEUX ?

 

Elysée

Rose mafia.

Ce que nous venons d’apprendre avec la mise sur écoute téléphonique de Nicolas Sarkozy, sans que les motifs soient clairement établis, c’est que nous ne sommes plus dans un pays de liberté. Nous sommes entrés dans une dictature larvée où des juges font la loi, en connivence avec une majorité politique et un exécutif désavoués lourdement par le peuple avec la complicité de médias aveuglés par l’idéologie. On avait déjà à subir la dictature intellectuelle et idéologique d’une caste médiatico-culturelle. S’y ajoute maintenant celle de juges et de magistrats qui décident de la culpabilité selon leur seule et intime conviction, cherchant sans cesse et par tous les moyens, les éléments qui permettraient de faire condamner l’ancien président de la République. Ils peuvent compter sur une certaine presse servile qui ne s’encombre pas de la présomption d’innocence. Avec le relais des petites phrases assorties de « si » servies par les hiérarques de gauche, la boucle est bouclée. La mafia ne fonctionne pas autrement.

Une justice stalinienne ?

Ce que nous découvrons aussi c’est une volonté de harcèlement judiciaire par tous les moyens pour maintenir le soupçon sur l’ancien chef de l’Etat. Qu’on en juge : l’affaire Bettencourt dont on se souvient la tempête que les socialistes avaient soulevée s’est terminée par un non-lieu, l’affaire « Karachi » sur laquelle on enquête depuis plusieurs années n’a pas permis d’incriminer Nicolas Sarkozy, et l’affaire « Kadafi » sur le soi-disant financement de la campagne de 2007 repose sur une accusation tellement extravagante (52 millions de dollars) sans qu’on ait le moindre élément tangible qu’on se demande bien pourquoi son instruction continue. C’est d’ailleurs cette dernière qui a déclenché les « écoutes » qui font aujourd’hui scandale. Puisqu’on n’a pas de preuves, on va en chercher ! Quitte à en fabriquer ? Cela ressemble aux procès de Moscou.

On verra bientôt, avec l'avis de la cour de cassation sur la saisie "inconstitutionnelle" des agendas du président Sarkozy, s'il existe encore une indépendance de la justice !

La liberté bafouée.

La publication des écoutes « Buisson » relève du comportement indigne de la part d’un collaborateur. Mais l'affaire appartient au domaine privé et elles n’auraient jamais dû faire l’objet d’une publication. Ayant été volées, le délit de recel peut être retenu contre ceux qui les exploitent. Elles paraissent bien anodines à côté du procédé utilisé par la justice dans la poursuite de ses enquêtes qui est un abus de pouvoir inadmissible et une scandaleuse atteinte à la liberté.

Depuis un an Nicolas Sarkozy et son défenseur Me Thierry Herzog sont sur écoute. Jamais en France un ancien président de la République n’a connu ce sort. Il faudrait donc qu’il y ait des motifs réels et graves. On ne les connait pas. S'agissant de son avocat, c’est plus compliqué encore : un avocat peut être écouté et perquisitionné si certaines conditions sont remplies, ce qui ne semblent pas le cas dans cette affaire. C’est pourquoi elle provoque une émotion considérable dans le milieu judiciaire. Ces écoutes ont été ordonnées dans le cadre de l'information relative au soutien financier supposé de la Libye à la campagne présidentielle de Sarkozy en 2007, dont les comptes ont été pourtant validés. Elles ont permis au pouvoir judiciaire et donc au pouvoir politique de se tenir informés de tous les propos tenus au téléphone par Sarkozy, relatifs aussi bien à sa vie publique qu'à sa vie privée, et à son insu, des conversations échangées avec ses interlocuteurs sur tous les sujets. Il ne semble pas qu’il ait été trouvé quelque chose sur cette affaire. Par contre, les enquêteurs saisirent un jour une conversation entre Sarkozy et son avocat, d'où il ressortait que les deux hommes étaient informés de l'évolution des  dossiers (Bettencourt, Tapie, …) par un de leurs amis, Gilbert Azibert, avocat général près la Cour de cassation, et que ce dernier avait exprimé le souhait que Nicolas Sarkozy soutienne sa candidature au poste de conseiller d'État à Monaco. La justice avait enfin un prétexte : « trafic d’influence » !

La chasse à l’homme. 

Dans une procédure accélérée, le tout récent « parquet national financier », nommé sur proposition de la gauchiste Taubira par François Hollande et contesté par la majorité du monde judiciaire, fut saisi de ce dossier et ouvrit, à peine installé, dès le 26 février dernier, une information judiciaire visant Nicolas Sarkozy. Une gigantesque opération policière a été aussitôt engagée : perquisitions à la Cour de cassation et au domicile de Me Herzog et de Gilbert Azibert, saisies de courrier, de documents, de téléphones. Du jamais vu ! Et tant d'efforts, de moyens, d'énergie, une montagne de haine pour accoucher d'une souris dérisoire : l'intervention d'un ancien président de la République en faveur d'un haut fonctionnaire à la veille de sa retraite pour la nomination à un poste honorifique à Monaco dont on sait maintenant que la principauté n’a jamais été l’objet d’intervention extérieure et que la candidature de M. Azibert n'avait même pas été retenue ! Où est donc le « trafic d’influence » et pour quel bénéfice ? 

Au moment où je termine ces lignes,  j'apprends que M. Azibert a fait une tentative de suicide, ce qui donne un tour dramatique à cette affaire et la rend encore plus sinistre. Voilà où peuvent conduire les agissements d'un pouvoir et d'une justice aveuglés.

Au profit de qui ?

Les tentatives Désir de reprendre la main en parlant à tout bout de champ de « scandale » sont aussi crédibles que le pompier pyromane qui crie « au feu ! ». La voix tonitruante en moins, on croirait entendre Georges Marchais. Aussi peu crédible mais plus blafard. S’il croit par ce moyen démobiliser l’électorat de droite dans quinze jours, car c’est le but, il se fourre le doigt dans l’œil !

Plus sérieusement, tout dans cette affaire des écoutes - les procédures utilisées, les méthodes, la précipitation, les violations du secret, l'abus des pouvoirs, l'atteinte aux libertés et aux droits de la défense -, tout atteste d'un acharnement qui éveille le soupçon, et le soupçon ne peut être que politique. C’est l’acharnement d’un président de la République qui entretient une sourde rancune contre son prédécesseur depuis son élection. Et il bénéficie de la complaisance de juges qui partagent la même rancune et la même haine. En tout cas, il est permis de le penser !

Et y’en a marre !

L'obstination que le pouvoir déploie à poursuivre l'ancien chef de l'État, en utilisant des procédés à la limite du droit, répond davantage à d'autres préoccupations qu’à un souci de justice : c’est l'assouvissement d'une haine à peine cachée, la destruction politique d'un adversaire ou encore une  diversion pour masquer ses propres insuffisances. Le discours moral qui les enveloppent et dont les socialistes ont le secret n’arrive pas à en cacher la bassesse. Mais il accrédite le « tous pourris ». Personne n’y gagne dans le personnel politique de tout bord. Et les socialistes feraient bien de se méfier du retour du « boomerang » dans les urnes. Même Marine Le Pen se méfie, elle qui cherche une respectabilité toujours à conquérir. Le résultat à en attendre est une radicalisation toujours un peu plus forte de l’électorat de Nicolas Sarkozy et de cela, on peut les remercier.

Car nous ne laisserons pas faire ! Et "ils" ne nous empêcheront pas de croire, jusqu'à la preuve du contraire, que Nicolas Sarkozy est, comme le dit Nathalie Kosciusko-Morizet, un homme honnête et intègre. Et dont on voudrait bien que la présomption d'innocence à son égard soit respectée. 

 

Commentaires

Richard VIAU

Françaises et Français.

Trop c'est trop, Nous perdons jour après jour, nos libertés fondamentales et les avocats de tout bord politique s'insurgent officiellement contre ces dérives qui nous menacent.

Il est temps après 22 mois de Socialisme de revenir à une situation où ce sont les voyous (qui volent et qui agressent) qui doivent craindre la justice.

Nicolas Sarkosy (qu'on l'aime ou pas ) est manifestement la cible de l'Etat. Il fait peur et tous les moyens sont bons pour lui faire renoncer à un retour en politique. (voir l'édito ci-dessus)

On se demande jusqu'où ses opposants sont prêts à aller pour le détruire.

Citoyen Français comme vous, j'appelle à un sursaut des électeurs dès le 23 et le 30 mars puis aussi en juin lors des élections Européennes pour sonner le glas de cette politique qui me fait honte.

Les autres pays s'amusent de voir la gauche occupée à gérer ses problèmes personnels plutôt que d'oeuvrer pour redresser le pays.

LES SOCIALISTES VOUS MENTENT. IL FAUT METTRE UN TERME A CETTE MASCARADE ORCHESTREE D'EN HAUT.

Salutations.
Richard VIAU
Chalonnes sur Loire.

Richard VIAU

Nous sommes le 12 mars 2014 et l'ETAT PS vient de reconnaître par la voix de son premier ministre HAYRAULT sur France 2 hier soir que lui et Madame TAUBIRA étaient informés. Madama TAUBIRA ministre de l'INJUSTICE a MENTI lors de son interview. Elle savait depuis au moins le 26 février que Nicolas SARKOZY était écouté.

L'ETAT SOCIALISTE a verrouillé les rouages de la Justice.
De là à dire que les ministres étaient informés bien en amont du contenu vain des écoutes, il n'y a qu'un pas..... le doute est permis

TAUBIRA DEMISSION
VALLS DEMISSION car lui aussi sera contraint de reconnaitre qu'il savait depuis longtemps que ses homme esponniaient l'ancien président.

VALLS qui fait arrêter des centaines de manifestants pacifiques lors des manifs pour tous, ne peut pas faire arrêter les CASSEURS ULTRA GAUCHE à NANTES.

VALLS transformerait-il notre belle Police et notre belle Gendarmerie à qui je veux rendre hommage, EN POLICE POLITIQUE...

C'est GRAVE

TROP C'EST TROP

Nous, NOUS ne sommes pas des casseurs, EN VOTANT contre la GAUCHE les 23 et 30 mars, nous dirons stop à ces dérives anti démocratiques

Richard VIAU
Chalonnes sur Loire

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