HISTOIRE
C'EST LE PRINTEMPS !
PERTE DE CONTROLE

FURIA HYSTERICA

Archibald en colère

La gauche, et particulièrement celle qui gouverne, n’a toujours pas compris la leçon. La surenchère hystérique à laquelle on assiste après la publication de la mise au point de Nicolas Sarkozy, montre bien que son argumentaire a fait mouche. Rien ne sert de se retrancher derrière des grands mots –qu’ils ont vidés de leur sens- leur noir dessein n’en ressort que davantage.

Par contre les Français ont tout compris, et particulièrement les électeurs de la droite et du centre. En témoignent les indications de vote données par les dernières études d’opinion : si l’abstention reste forte, la gauche recule à un niveau qui annonce la catastrophe prévisible encore plus ample, le FN recule aussi et la droite frôle les 50% ! Cela situe les résultats à peu près au niveau de ceux de 1983… Autrement dit une vraie déroute. Voilà ce qui arrive quand on crache en l’air : ça vous retombe toujours dessus !

Au palmarès de l’hystérie, la palme revient au président, qui se drapant dans sa tunique de 1er magistrat juge la comparaison avec la « stasi » … « insupportable ». Au niveau de popularité où il se trouve, ce serait plutôt lui que les Français jugent « insupportable ». Viennent ensuite les porte-flingue du gouvernement et du PS, chacun se sentant obligé de monter au créneau avec une réelle concurrence pour trouver la formule la plus violente. Car la violence, qu’ils attribuent à Sarkozy, est d’abord chez eux et depuis des mois. Leurs commentaires exacerbés seraient plus crédibles s’ils avaient été précédés de prises de positions pour condamner le viol du secret de l’instruction. Ils ont préféré exploiter les documents publiés : malhonnêteté intellectuelle évidente !

Harlem Désir est servi lui qui demandait à l’ancien président de s’expliquer. Il y voit une « attaque inouïe contre les institutions ». Son commentaire est aussi crédible qu’une péripatéticienne qui voudrait faire croire à sa virginité. Dans le palmarès des surenchères verbales, Valls se classe dans les premiers rangs, lui qui promet par ailleurs des bonnes surprises pour la gauche dimanche soir. Il doit aimer le bitter. Il confond « la rage de l’ancien président qui veut tout casser, tout détruire » avec la sienne et en matière de perte de sang-froid, il ne peut guère donner de leçons. Mais le plus pathétique c’est le sombre Ayrault qui ose parler de « grave faute morale » : comment peut-il en juger lui qui, semble-t-il, n’en a guère ! Il devrait avoir honte de se poser ainsi en parangon de vertu quand on affiche un aussi triste bilan au bout de deux ans d’exercice. Les Verts « pris de stupeur » ne sont pas en reste et évoquent « une attitude pyromane » -un comble- pour des idéologues sectaires à œillères étroites, le briquet toujours à la main.

Bref ! Les inquisiteurs n’aiment pas qu’on leur dise leur fait.

Le tam-tam des médias de ce jour répercute à qui mieux-mieux les commentaires de la gauche outragée. Ils ne feront qu’amplifier la victoire de la droite après-demain. Ils sont devenus autistes. C’est incurable. Tant pis pour eux ! Les urnes vont parler. Les « bonnes surprises » seront à droite et dès le 1er tour !

 

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