HISTOIRE
UNE FRANCE MODERNE ET HUMANISTE
LES OUTRANCES DU « HOLLANDE-BASHING »

BLOG A PART …

 

  Christine-boutin-home_1159347951   Montebourg   Copé 2 dec  Hollandreou   Martine Reims

« Le pire, c’est quand le pire commence à empirer. »

                                                                             Mafalda

Le p’tit pain de Copé : la planète médiatique a enfin trouvé un sujet d’importance pour s’enflammer ! En évoquant un épisode banal de la pression islamiste dans les quartiers sensibles, comme si les non musulmans devaient respecter le ramadan, pour dénoncer les difficultés de cohabition et la volonté de provocation, Jean-François Copé  a « jeté de l’huile sur le feu », « court après les électeurs du FN », « stigmatise une communauté »…. Vous allez dire que ça fait beaucoup pour un seul homme. D’abord, si dénoncer ces comportements permet à des électeurs de préférer l’UMP que le parti extrémiste, c’est peut-être pas plus mal. Ensuite que M. Ayrault n’accepte pas sa méthode, on s’en tamponne le coquillard. Nous nous n’acceptons pas la sienne quand il stigmatise à longueur de temps les chefs d’entreprises et ceux qui ont un peu de fortune.

Il fallait y penser avant : plusieurs sondages mesurent la disgrâce de l’exécutif et bien pire pour lui qui se voit renvoyer dans la poire son antisarkozysme outrancier comme un boomerang : 55% de nos concitoyens regrettent l’ancien président ! Et v’lan, passe-moi l’éponge …

Fantastic ! … la parade. Grandiose, même ! Et grandiose est bien le mot : le terme est généralement employé chez les socialistes pour désigner le caractère d’une sauterie inutile, financée sur les deniers publics. Y’a pas de boulot, mais qu’est-ce qu’on s’amuse chez les ch’ti ! Et la plaisanterie va durer trois mois. L’amère de Lille ne fait jamais les choses à moitié. Pour les impôts non plus, d’ailleurs (600 de TH pour un logement étudiant). On se croirait revenu sous le bas-empire. Quand va-t-on distribuer du pain à la foule ?

« #Geonpi » en colère : le mouvement est inattendu, mais la vague de fond est profonde. L’exaspération fiscale conduit à la révolte. Et l’image choisie –le pigeon- est judicieuse. Les chefs d’entreprises tirent les premiers, à juste titre, las d’être rackettés dans les projets fiscaux et jetés en pâture à la vindicte dans les discours gouvernementaux. Le pouvoir a commencé à reculer… mais ça n’a pas fini de « fienter » ! (de quoi amener Mosco à se faire des cheveux). J’en profite pour dénoncer cette contre-vérité ambiante qui consiste à faire croire qu’il est juste de taxer à égalité les revenus du travail et ceux du capital. Sauf que le capital, avec ce raisonnement l’est deux fois : il a déjà payé l’impôt pour se constituer.

Etats généraux : … pas si généraux puisque les élus de l’opposition se sont retirés devant les projets et les manipulations des socialistes. Il s’agissait de la grand’messe organisée pour « Normal 1er » sur les « territoires » afin d’y exposer ses idées sur la décentralisation : quelques idées poussives, datées et rétrogrades trouvées au fond des tiroirs poussiéreux de la République. Surtout, c’est l’aveu que la conjoncture ne risque pas de s’améliorer d’ici 2014, et donc il faut prendre les devants en reculant les élections régionales à 2015…

« Chère » amie : c’est la mère Christine et son parti « chrétien ». L’UMP doit lui verser 180 000€, reliquat des quelques 800 000€ sur lesquels Sarkozy s’était engagé pour prix de son désistement à la présidentielle. Compte tenu du nombre de ses adhérents, ça fait cher le client. C’est que les m2 coûtent cher à Paris pour entretenir un siège. Il y en a qui disent qu’une cabine téléphonique suffirait pour son congrès, mais elles sont en voie de disparition. Pour l’UMP, la note tombe mal, au moment des vaches maigres.

Points : Montarebourg ne marque pas de points malgré son agitation permanente. Il en perd même, en tout cas, il aurait dû en perdre au moins quatre sur son permis pour s’être permis un excès de vitesse dans Paris avec sa « Zoé » qui ne le quitte plus. C’est sa nouvelle maitresse survoltée.

Débordés : les agents immobiliers parisiens ne savent plus où donner de la tête en cette fin d’année 2012. Ils doivent faire face à un afflux de 400 à 500 habitations de plus de 1 million d’euros à vendre d’ici fin décembre. Des Français qui vendent avant de partir (et avant d’être rackettés par le fisc). Apparemment le gouvernement n’est pas au courant. Mais qui va acheter ? des émirs ?  A moins que Duflot ne les réquisitionne pour les pôôôvres.

Facture salée : le déplacement de « Normal 1er » à l’ONU avec sa suite de soixante personnes aura coûté 900 000€, nous apprend le Canard. Cher, le hamburger à New-York ! Sa présidence est de plus en plus normale. Côté économies, ne comptons pas sur lui.

 

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