HISTOIRE
FAUX DEBAT…
« Je veux affirmer l’importance cruciale des frontières »

ARCHIBALD SE FACHE !

 

Faudra-t-il interdire internet pendant les campagnes électorales ? Certes on s’amuse bien sur la toile, mais on y trouve tellement d’outrances et de violence que cela fait peur. La nature humaine, décidément est incorrigible et à lire certaines réactions, on a le sentiment que « l’épuration » nous guette à tous les instants.

Surtout, c’est le lieu privilégié de propagation de toutes les rumeurs et de toutes les accusations invérifiables, et force est de reconnaître qu’à ce petit jeu, les gauchistes sont plus experts que les autres. Les derniers épisodes à l’initiative de Médiapart en sont une illustration. Jeter le discrédit, accuser sans preuves sur la base de documents douteux quand ils ne sont pas fabriqués : tout est bon pour créer la suspicion.

Alors voilà que Kadhafi a versé 50 millions d’euros (pourquoi pas 100, je vous le demande) pour le financement de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy. Elle a coûté 20 millions d’euros, et c’est déjà beaucoup. Les comptes en ont été examinés à la loupe par la commission de contrôle et ont été validés. Rien n’y fait. Plus c’est gros, plus ça passe. Mais à quoi aurait-il pu dépenser tout cet argent ? Surtout que la famille Bettencourt aurait, elle aussi, versé des « enveloppes »... Où sont les preuves ?

Alors en plus, voilà que Nicolas Sarkozy serait le grand sorcier qui aurait manigancé le coup monté du Sofitel, accuserait DSK. Si c’est le cas, il aurait été un piètre stratège. Connaissant l’addiction du personnage, il eût mieux valu attendre l’automne, une fois qu’il aurait été investi par son parti. Si complot il y a eu, ce dont je doute, il vaudrait mieux regarder du côté de ceux à qui il a profité… Bizarrement, au PS on ne commente pas et on oppose un silence gêné de façade, pour mieux souligner « la violence » des réactions de l’adversaire, Sarkozy en l’occurrence, et de son entourage. Un jeu dangereux qui se dégonfle quand on découvre qu’il n’y a pas eu d’interview par le « Guardian » et que c’était un « montage » de déclarations … Finalement la victime, serait Hollande. Faut quand même le faire ! Mais qui a créé la bulle médiatique autour de cette info ?

Et voilà donc Nicolas Sarkozy sommé de rendre des comptes devant les Français sur la base d’accusations qui reposent sur de tels montages. S’il se défend, c’est scandaleux. S’il dénonce la manipulation, c’est lui l’agresseur. S’il se fâche, c’est de l’outrance ou qu’il a quelque chose à cacher ! Tout cela est honteux ! 

C’est là qu’on voit que les « valeurs de la République », il y a ceux qui en parlent, et il y a ceux qui les défendent. La « laïcité », il y a ceux qui en parlent, et il y a ceux qui la défendent. La « citoyenneté », il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui se préparent à la bafouer.

Monsieur Plenel, patron de « Merdiapart » n’est pas Ajax, le chevalier blanc, qu’il voudrait être ; il serait plutôt le chevalier « marron » dans tous les sens du terme, tant les procédés qu’il utilise relèvent plus de « l’agit’-prop » gauchiste que du journalisme. Voilà de la matière pour celui qui veut légiférer sur la « moralisation de la vie politique ».

Pour en arriver là, il faut croire qu’à gauche ils ne sont pas aussi surs du résultat de dimanche prochain qu’ils veulent bien le dire. Mais le climat de tension qu’ils entretiennent fait frémir quand on imagine « l’après » quel qu’il soit. Finalement, j’ai envie de leur dire merci, parce que le résultat c’est que les Français de bons sens sont révulsés et toutes ces boules puantes qui sortent à une semaine du scrutin ne font que mobiliser un peu plus les électeurs de Nicolas Sarkozy.

Si on ajoute à cela que le candidat Hollande est obligé d’annuler des meetings faute d’avoir maîtrisé son budget de campagne, on peut se poser légitimement des questions sur les compétences de son équipe pour gérer le budget de la France !

Proprement effrayant !

                                                                                Tonnerre de Brest !

 

Commentaires

chris

" Actionnaires directs et indirects de Mediapart :
Godefroy Beauvallet, François Bonnet, Gérard Desportes, Laurent Mauduit, Edwy Plenel, Marie-Hélène Smiéjan ; Laurent Chemla, F. Vitrani ; Société Ecofinance, Société Doxa ; Société des Amis de Mediapart.
Mediapart a rassemblé un Capital de 3 millions d’euros pour son lancement le 16 mars 2008, avec une augmentation de 700 000 euros assurée pour le second trimestre 2008.
Sur ces 3 millions, 1,325 million a été fourni par les apports personnels des fondateurs , 550 000 euros investis par Edwy Plenel et 550 000 euros par Marie-Hélène Smiejan ,
100 000 euros par Laurent Mauduit , 80 000 euros par François Bonnet, 40 000 euros par Gérard Desportes.

Le complément manquant provient d’une Société des Amis de Mediapart , présidée par le mathématicien Michel Broué, réunissant 46 membres fondateurs (dont Xavier Niel, cofondateur d’Iliad-Free, actionnaire pour 100 000 euros, Maurice Lévy, PDG de Publicis, pour 5 000 euros, François Vitrani, directeur général de la Maison de l’Amérique latine, pour 5 000 euros également). La SAM représente un montant total de 504 000 euros, auxquels s’adjoint 1 million d’euros à
parts égales entre les investisseurs Écofinance (Jean-Louis Bouchard) et Doxa Jean (Thierry Wilhelm )."

Comme quoi ceux sont effectivement des gens trés riches.... de Gauche qui finançent mediapart et non pas les quelques milliers abonnés qui y souscrivent .

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