HISTOIRE
MARCHE DE DUPES
C’EST MAINTENANT !

LES ECHOS DE LA CAMPAGNE (très polémiques) SELON ARCHIBALD

 

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Vous avez certainement pensé que j’avais été finalement atteint par le « blues d’après défaite », au point de n’avoir plus envie d’écrire. C’est mal me connaître.

D’abord il y a la campagne de Paul Jeanneteau dans laquelle on se donne à fond les manettes, parce que vraiment, voir le "bébé Hollande" devenir député, ça nous donnerait mal aux varices ! Ce qui fait que beaucoup de soirs sont occupés à assurer l’intendance des réunions publiques, il faut le dire, plutôt fréquentées.

Et cette semaine, Paulette et moi avons fait un « break », histoire d’aller prendre l’air du temps –qui passe- en Normandie, sur les plages du débarquement. Deux jours pleins, un temps magnifique et des souvenirs qui remuent les tripes.

Comme la semaine qui vient s’annonce plutôt « speed », je profite du petit temps mort de ce dimanche soir pour revenir à nos moutons. La campagne !

BAYROU : deux « sorties » qui font date. Voilà que celui qui a choisi Hollande se croit obligé de nous infliger son avis : pour l’UMP, il choisit Fillon. Il est bien gentil, mais on n’a pas besoin de lui pour savoir ce qu’on a à faire. L’UMP ne manque pas de personnes de talents. Et naïf en plus, le Béarnais : voilà qu’il s’aperçoit que le PS a fait le choix du sectarisme ! Il devrait pourtant savoir, depuis le temps que ce défaut est congénital à la gauche et le PS n’y échappe pas. Pauvre François.

Les perles du DESIR : le Haarlem déclare sans honte  que « l’UMP est 100% polémique » et qu’elle n’a aucun argument. Il va falloir t’habituer, « mon pote ». Qu’a fait le PS pendant cinq ans : mauvaise foi, dénigrement systématique, polémique à tout propos. L’UMP a encore de la marge. Et il ajoute, sans rire, « Copé n’a pas installé la digue républicaine face au FN ». Cela ne sert à rien de répéter la même chose quand on est sourd et qu’on ressort les mêmes arguments en boucle. Au fait, l’annonce de Taubira sur les tribunaux pour mineurs, ce serait pas pour faire monter les voix du FN, par hasard ?

MELENCHON : il ressort le linge sale interne du PS. La cible : Martine Aubry et les pratiques internes dans les fédérations du Nord et du Pas-de-Calais. Comme c’est intéressant. Je trouve les médias bien  peu motivés pour relayer ses propos.

AYRAULT : le petit prof devenu premier ministre jouit d’une magnifique cote de popularité. Il faut dire qu’il soigne sa gauche. N’ayant jamais connu l’économie réelle, il prend des mesures bien démagogiques et bien coûteuses qui se solderont par un désastre économique et une pile d’impôts. Un autre a connu la même aventure, avec le même début. Il avait le même profil. Il se nommait Bérégovoy. On sait comment il a fini. La roche tarpéienne est proche du capitole.

PEILLON : Celui-là, il fallait bien que je me le paye. Au congrès de la FCPE, il a déclaré qu’il remettrait l’élève au centre du système éducatif. Retour en arrière : on sait ce que cela a donné. Mieux que le ministre des élèves à la botte des parents bobos, on attend de lui qu’il soit le ministre du « savoir » et des « apprentissages ».

41% : Les Français sont sceptiques. C’est le pourcentage de ceux qui pensent que le nouvel exécutif fera mieux que l’ancien. Il y en a qui ont donc voté sans y croire.

ROYAL : égale à elle-même, le « nombril » du Poitou-Charentes se dit certaine d’aller au perchoir, considérant sans doute que son élection à la Rochelle où elle a été parachutée, était une formalité. Ce n’est pourtant pas ce qui remonte du terrain où le candidat dissident Falorni est très implanté. Comme pour sa candidature à la présidentielle pour laquelle elle se croyait la meilleure, elle pourrait bien avoir droit à la cellule de dégrisement dès le 11 juin au matin.

TRAIN : M. Prudhomme est allé à Bruxelles par le train. Suivi à grand renfort de caméras, notre Bourgeois, heureusement n’allait pas à Calais. Publicité extravagante pour un président dit « normal ». On ne nous a pas tout dit et l’envers du décor est croquignolet : pour revenir en voiture, il a fallu qu’un cortège présidentiel monte à vide. Sans parler du déminage du train, des ponts gardés tout le long du trajet, de la rame qui ouvrait la voie en avant de celle du président, et de l’avion forcément positionné à proximité, pour raisons de sécurité en cas de retour précipité. Depuis son investiture, on s’aperçoit que le ridicule ne tue pas, mais il a un coût. Ah si Sarko avait fait ça … !

VAGUE ROSE : Tous les sondages le disent, il n’y a pas de vague rose en vue. Et Raffarin se risque même à pronostiquer une victoire de la droite et du centre… Drôle de pays qui ne sait pas ce qu’il veut.

Il y aurait encore plein de choses à dire, mais ce sera pour la prochaine.

 

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